Londres, « ville fantôme »
Durant la période des Jeux Olympiques, en 2012, les Londoniens furent en fait effrayés par l’effervescence des Jeux. Le tiers des 5 millions d’employés londoniens préférèrent travailler chez eux ou se mettre en congé. Les célèbres taxis de la ville firent grise mine, devant la chute brutale de leur chiffre d’affaires. Leur porte-parole, Steve McNamara, évoqua même une «ville fantôme».
©Pierre LAGRUE